Pourquoi lisons-nous ? – Rencontre “Si j’étais malade”

Mercredi 13 décembre matin, une vingtaine d’étudiant.e.s se sont réuni.e.s autour de Christopher Gellert et de Sophie Vasset (maîtresse de conférence de l’UFR Etudes Anglophones), pour discuter des effets de la maladie sur la lecture… 

La rencontre a débuté sur la phrase “Si j’étais malade, j’aurais enfin le temps de lire” : un fantasme répandu mais bien souvent trompeur !

En effet, une fois malade (l’on parle ici autant d’une grave maladie que d’un petit rhume…), nous lisons peu (que ce soit par excès de fatigue, de fièvre, de douleur, ou le manque de concentration, de bien être, …), ou alors, nous lisons différemment : nous régressons, nous reprenons nos livres pour enfants, ou encore nous utilisons la lecture comment moyen de guérison, comme catharsis, comme baume, …). Nos perceptions sont modifiées.

Sophie Vasset nous a fait profiter de sa lecture de l’essai On being ill de Virginia Woolf.

Chacun et chacune a pu partager ses expériences de maladie et de lectures, discuter de comment les deux s’entrecroisent ou non, et pourquoi…  : lecture de bandes dessinées et de polars plutôt que de Proust ou Shakespeare, la prédominance de la poésie, livres audios, lecture thérapeutique, ….

Retour en images :

 

Et retour en vidéo : à découvrir dans le reportage en bas de cette page

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